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mercredi 10 août 2011

Cannon Fodder


Chose qui n'a rien à voir avec le reste mais j'éprouve une certaine nostalgie régressive quand je joue à Cannon Fodder.

Dédicace

Un peu de pub pour un blog hautement recommandable: c'est le blog d'un ami : sylvain Cabot

lundi 8 août 2011

Eliane radigue

 Est-il nécessaire de multiplier les effets de style pour atteindre au coeur la sensibilité de l'auditeur?
Cela n'est pas le cas si l'on écoute la musique d'Eliane Radigue.
L'univers musical singulier d’Éliane Radigue, compositrice française née en 1932, fascine tout autant qu'il provoque un sentiment de gène à celui qui n'est pas apprivoisé aux musiques minimalistes.
Le bourdons comme unique matériau, la manipulation de la matière sonore comme credo. La musique d’Éliane Radigue se prête difficilement à la description simple. L'écoute comme expérience sensible.
La compositrice à commencer par étudier les principes de la musique concrète avec Pierre henry et Pierre Schaeffer. Elle participe à l'élaboration de l’œuvre "L'apocalypse de Jean". En parallèle, elle voyage aux Etats-Unis, rencontres des compositeurs comme LaMonte Young, Steve Reich, Philip Glass, Charlemagne Palestine, Alvin Lucier et James Tenney. Elle commence à composer de la musique à la fin des années 60. D'abord avec de simple micros et magnétophone à bande, elle opte pour le synthétiseur modulaire au début des années 70. Entre 1970 et 2000, elle compose des oeuvres mélangeant esthétique electronique et esthétique minimaliste. A partir des années 2000, elle choisit de s'oerienter vers les instruments acoustiques.
Pour plus de renseignement, vous pouvez aller ici.
Il existe des un portrait de la compositrice:

Ses œuvres électroniques ne sont pas rejouées avec les instruments mais uniquement diffusée:

Son oeuvre la plus emblématique reste la trilogie de la mort qui se compose de trois pièce : Kyema, Kalaisha, Koume
 Kyema :

Listes des gens bien

Liste des gens encore mieux